Comprendre et soulager l'endométriose

L’endométriose est une maladie gynécologique fréquente qui touche plus de 10 % des femmes.

Elle se caractérise par la présence, hors de la cavité utérine, de tissu semblable à celui de la muqueuse de l’utérus (appelée endomètre). 

QU’EST-CE QUE L’ENDOMÉTRIOSE ?
L’endométriose  est une maladie définie par la présence, en dehors de l’utérus, de fragments de muqueuse utérine (endomètre) ou "tissu endométrial",
comprenant des glandes et du stroma (tissu servant à soutenir, protéger et relier entre eux les nerfs, les vaisseaux sanguins et lymphatiques qu’il contient).
Les lésions d'endométriose présentent les mêmes caractéristiques que la muqueuse utérine.
En particulier, elles sont sensibles à l’action des hormones ovariennes (œstrogènes). C’est pourquoi on qualifie l'endométriose de "maladie œstrogéno-dépendante".

L'endométriose se manifeste ainsi chez les femmes en âge de procréer (c’est-à-dire en période d’activité génitale), parfois dès l’adolescence. C'est une maladie chronique qui régresse à la ménopause. 

COMMENT SOULAGER L’ENDOMÉTRIOSE ?
L'endométriose n'est traitée qu'en cas de douleurs, d'infertilité ou d'endométriome (kyste).

Le traitement de l’endométriose n’est pas simple en raison des récidives fréquentes quelques mois après l’arrêt du traitement (les douleurs reviennent souvent entre 6 et 12 mois après le traitement).

Le traitement par anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peut atténuer les douleurs. Lorsque les lésions d’endométriose sont sensibles aux hormones, on utilise des traitements qui diminuent le taux d’oestrogènes (les anti-oestrogènes) pour réduire les saignements endométriaux et faire régresser les lésions.

On peut utiliser pour cela les contraceptifs oraux combinés (œstrogène + progestatif) ou les progestatifs seuls (notamment en stérilet). Cette première option, souvent associée aux AINS, échoue cependant dans plus d’un cas sur cinq.

Le danazol (une hormone proche de la testostérone qui bloque l’activité des oestrogènes et de la progestérone) ou les agonistes de la GnRH (en injection mensuelle) qui suppriment les règles sont parfois utilisés dans l’endométriose mais ne sont pas dénués d’effets secondaires, notamment osseux (jusqu’à 13 % de perte de densité osseuse en six mois dans certaines études).

Dans certains cas, le recours à la chirurgie est proposé (et parfois l’utérus et les ovaires sont retirés). L'intervention a l'avantage de retirer les lésions douloureuses et de supprimer durablement la gêne.
L'intérêt de l'opération est néanmoins discutable dans le cas de petites lésions disséminées ou quand il existe un rapport risque/bénéfice défavorable, avec par exemple un risque d’incontinence. 

Le taux moyen de récidive après chirurgie est d’environ 20 % à 5 ans.

Il existe néanmoins des méthodes simples qui vous soulagent instantanément et cela sans prises de médicament, sans chirurgie:

La stimulation électrique de la zone endolorie.

En effet, vous l'avez surement déjà remarqué, après une compétition, une séance d'entrainement, un sportif de haut niveau, est souvent chouchouté à la fin de sa compétition par son kinésithérapeute, qui lui place des électrodes sur ses muscles afin de soulager les douleurs liées à l'effort physique.

Ici pour soulager les douleurs liées à l'endométriose Careboo™ Cutty diminuera instantanément vos douleurs et cela dès les premières secondes.